8 réflexions sur « Bon Dieu … Quelle chaleur ! »

  1. [b]Cher Christian, vous ne pouvez mieux dire…
    Quelle chaleur, qui m’ôte toutes les envies d’écrire, au profit de siestes à répétition .

    je croule sous les informations qui me viennet de toutes parts, mes magazines de la semaine sont arrivés ce matin.

    J’arrache des pages, les mets sous « vide », en vue d’une exploitation à ma sauce, mais Rien, Rien ne vient, j’ai les idées qui se télescopent,

    J’ai envie de TOUT traiter, et n’arrive à rien traiter du TOUT.

    Mon cerveau part en fumée, lui aussi grille.
    L’orage pour demain ?

    Bien vu joliment dessiné et des couleurs à faire pâlir mes idées noires.

    très amicalement

    Sophy[/b]

  2. Non, ce n’est pas l’enfer ! c’est l’été!
    moi qui vivait dehors à cette époque de l’année, étant plus jeune, je retrouve enfin les temps d’été et… que c’est bon…
    Que du bonheur!
    😉

  3. Et un peu de poésie:
    [i]Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
    Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
    Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
    Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
    Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
    Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
    Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
    Par la Nature, – heureux comme avec une femme.
    [/i]
    Rimbaud

    [i] Je suis un soir d’été
    La chaleur se vertèbre
    Il fleuve des ivresses
    L’été a ses grand-messes… Afficher davantage
    Et la nuit les célèbre
    La ville aux quatre vents
    Clignote le remords
    Inutile et passant
    De n’être pas un port

    Je suis un soir d’été.

    – Jacques BREL -[/i]

    Qui veut une orangeade ?

  4. Moi je veux une orangeade. Merci River et à votre santé.
    Ce que j’ai le plus aimé c’est le cercle au-dessus de la tête qui n’a pas été oublié.

  5. Merci c’est tout à fait l’heure d’en boire 35° aujourd’hui dans ma région et peut-être autant demain.

  6. [b][/b]très beau poème,River!

    Chez moi,37°,et il parle d’orage pour ce soir!!J’espère!!

    Poème

    J’ouvre ma fenêtre.

    L’aurore pointe
    comme un bourgeon
    qui vient de naître
    Sur sa branche aérienne
    il s’entrouve
    offrant dans le matin blanc
    son sourire de sève.

    Le silence en bouffée
    éclabousse mon esprit confondu
    par tant de paix

    Je vis
    je respire
    je regarde l’oiseau passer
    et cueillir en plein vol
    le fil de ma pensée.

    Je bourdonne
    sur une fleur de miel
    je découvre la joie bruissante
    d’être abeille

    ET,lâme gorgée de nectar
    de corolles et de lumière
    je referme ma fenètre.

    « Le noyau en flamme » Mozarine.

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