Banon/Hollande ou Hollande/Banon

Exit, Miss Banon… Je crois que, quand même, j’aurai une dent contre elle pour avoir acheté ce caca de bouquin intitulé "j’ai oublié de la tuer" où, très visiblement, à travers une Nounou maghrébine (il va de soi), alcoolique et frappeuse de surcroît (elle devait ignorer qu’on ne tape pas sur les pestes blondes…), elle fait son compte à maman. Qui, nous l’apprenons par voie de presse au début de la "grande" affaire de sa vie, s’est offert son Strauss-Kahn, confondant amour du Parti et acte au plumard. Pas joli, tout ça, quand on en fait un pataquès dans les journaux, quand discrètement, un certain nombre d’entre eux font état du fait qu’elle est entretenue par Maman à 32 ans parce qu’elle n’arrive pas à gagner sa croûte, est déboutée (bon, gentiment) par le tribunal ; mais suffisamment pour que son propre avocat lui conseille de "laisser tomber", et nous sort un bouquin sur ses aventures Strauss-kahniennes qui doivent être tellement passionnantes que son éditeur déclare "qu’il n’y a pas de contrat d’édition". Bref, en clair, elle a pondu à compte d’auteur, c’est-à-dire, payé tous les frais, me semble-t-il. Maman est bien bonne, je me méfierais des souvenirs apparemment "inoubliables" que M. Strauss-Kahn laisse à ses maîtresses ou "petites amies" sur le plan sexuel. Sans doute pas l’Adonis délicat et caressant que toute femme requiert. Miss Banon, dans un an, sera retournée dans ce monde un peu interlope de demi-sels à la recherche de distractions douteuses comme il semble qu’elle y ait passé sont temps "entre-Strauss", à écrivailler à droite, à gauche, sans même savoir "faire de la ligne" comme au XIX e siècle car, pardon, elle n’a aucun talent : vous n’avez qu’à la lire. L’ennui, c’est qu’il semble bien que pour trouver un éditeur, ce sera "mission impossible". Pas par la faute de Strauss mais parce qu’elle devrait trouver un éditeur dont la vocation est la faillite.

Éperdue, mollassonne, pas super futée (faut lire, faut lire), je la vois très bien récupérée au service de presse de MIaollande, notre "Flanby" ou encore patte molle,  à la découpe de la revue de presse du patron, collationnant en premier lieu, les articles ne concernant pas son patron mais les autres, sans avoir vraiment compris comment ça fonctionne. Cette jeune femme a une tête de noyée sortant de la Seine (Chirac l’avait promis mais il ne l’a jamais traversée à la nage), sorte d’Ophélie aux yeux vidés (encore faudrait-il qu’ils en fussent une fois pourvus) de cette lueur d’intelligence qui promet à son entourage le gîte et le couvert. Allons, sortons – la du néant où elle baignait et où, même Strauss-Kahn n’a pas réussi à la faire sortir, faisons-la entrer chez les "petites soeurs des pauvres". Quant à Hollande, bah, finalement, je n’ai rien à dire, sauf que je regrette profondément qu’il ait fréquenté l’E.N.A. (Royal aussi, ce n’est pas mieux) mais que nous aurons peut-être besoin de lui pour nous reposer des avocaillons d’affaires z’agités, papas de fraîche date et pas futés pour le reste. C’est reposant de ne pas le voir trop, en ce moment, le nouveau "couches-culottes".

2 réflexions sur « Banon/Hollande ou Hollande/Banon »

  1. Je suis « effondrée » : y’a au moins deux fautes d’orthographe. Voila ce que ça donne quand on écrit directement, au kilomètre.

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